“È proprio nella congiunzione fra un permanente slancio lirico e un sottostante classicismo – derivato dalla lunga frequentazione, a Madrid, durante il soggiorno presso la Casa Velázquez, delle opere del maestro de Las Meninas e di Goya, e poi di quelle di Eugène Delacroix a Parigi, che si trova, ovunque dipinga – a Dieppe o nella Charente, in Toscana o a Parigi, alle Antille o sull’isola della Réunion –, l’arte di Michel Lecoque. Arte del sunto teso e sintetico sotto le percussioni e le strisciate del pastello, la sua tecnica prediletta; arte dei contrasti affermati e perentori, degli accenti decisivi delle sue tele; dei toni attutiti degli oli su cartone, ai quali gli piace dare quella patinatura delicata che si ottiene più agevolmente con la neutralità di un supporto spento” (Philippe Levantal).

“C’est à la jonction même d’un permanent élan lyrique et d’un classicisme sous-jacent – issu de sa longue fréquentation à Madrid, lors de son séjour à la Casa Velasquez, des oeuvres du Maître des Ménines et de Goya ; puis à Paris de celles d’Eugène Delacroix – que se situe, où qu’il peigne – à Dieppe comme en Charente, en Toscane comme à Paris, aux Antilles comme à l’île de la Réunion – l’art de Michel Lecoque. Art du résumé tendu et synthétique sous les écrasements et frottis du pastel, son matériau de prédilection; art des contrastes affirmés et péremptoires, des accents décisifs de ses toiles ; des tons assourdis de ses huiles sur carton auxquelles il aime donner la matité délicate qui s’obtient plus aisément (comme souvent le montrèrent Degas, Vuillard et Bonnard) par la neutralité d’un support éteint” (Philippe Levantal).