POGA POGA (una metropoli che balla)
Hey ho, let's go, ci vuole la ribellione!
Un mantra, un legame, una ferita condivisa, le cicatrici come case rotte, spazzatura che offende la superficialità intellettuale dettata da una moda vuota e corrotta. La spilla che lega, punge, disinfetta e mantiene i pezzi del cuore dato in pasto alla vita. La voglia di ballare, come una tribù spray, veloce e rivoluzionaria. Il mosh, equilibri diversi per una gabbia fatta di cielo e cantine. Ehi, devi muoverti amico, ho degli insetti dentro le scarpe, devo muovermi con il sapore di chi vuole festeggiare il passato che diventa futuro. Bombe colorate di igiene mentale, una sala d'attesa snervante fatta di cuoio e pelle, chiodi, in una vecchia stazione ferroviaria mentre urinavo su un cartello politico ho visto I Ramones, pettinati dal vento e sconvolti dalla normalità. I bambini succhiano la mandorla amara, rara, il neon di un lurido pub dove la birra non vale che un bacio. La schiuma è bianca come il mare inquinato dai critici crociati persi tra le penne brillanti. Mamma sono un figlio di punk, di fuoco e tarocchi, mentre la notte toccava le tette alla luna. Poga, poga, muovi il culo e balla, mentre il no rivoluzionario delle ginocchia rimane in piedi su un triangolo sicuro. Il supermarket ed il latte scaduto, se.duto mi lecco le dita di una vita sporca mangiata due volte. Mi vesto di rosa e mi tingo i capelli di blu, mentre calpesto con punte di ferro le foglie cadute dagli occhi. Calpesto ascoltando in silenzio il rumore di questa città, collego la spina in un foro dentro al cemento e sento ferite, sento il tormento di una società fatta di ferro e bulloni messi per caso, nessuna garanzia e con grandi garze fascio e stringo le dita su un'altra bugia. Salvarsi dagli sconti invernali, dai pupazzi che solo la neve può darci, la cassiera che balla, il barbiere con lamette martella la stessa malata canzone, la guerra a colori è iniziata. La guerra dei no dormiva su un'altra serranda abbassata. La spilla mi cuce i ricordi e getta colori sul muro, le scritte e riviste strappate che stanno in un posto sicuro, lontano dal cuore, lontano da tutto, vicino nel mondo, ficcato in quel posto. Poga, poga, suona, rompi ed urla, la metropoli che balla.
Artisti uniti da una spilla, da una punta, da una macchia che si perde nelle vene di un varietà avariato, visto da tanti punti di vista, visto e percosso come un fiore strappato, un tatuaggio, un piercing, un morso, che guarisce un mondo malato.
Il Soundriver Recording studio di Roma, sarà incontro e registratore di queste anime perse, sparse, lucide, dentro ad un inconscio senso di liberazione verso tutto quello che gira in orario. Il fiume porta, nasconde e trascina, come il sangue nelle vene, come una barca appoggiata sul mare, come le scarpe rotte di un bambino che spingono uno skate pieno di emozioni.
Siamo gatti neri, dentro inutili pensieri...
Patrizio Maria

Hey ho, let' s go, il faut la rébellion!
Un mantra, un lien, une blessure partagée, des cicatrices comme des maisons cassées, des ordures qui offense la superficialité intellectuelle dictée par une mode vide et corrompue. La broche qui ligue, pique, désinfecte et conserve les morceaux du coeur donné en repas à la vie. L'envie de danser, comme une tribu de spray, qrapide et révolutionnaire. Le mosh, des équilibres différents pour une cage faite de ciel et de sous-sols. Hey, tu dois bouger, mec, j'ai des insectes dans mes chaussures, je dois me déplacer avec le goût de ceux qui veulent célébrer le passé qui devient futur. Des bombes colorées d'hygiène mentale, une salle d'attente ennerve faite de cuir et de peau, des clous, dans une vieille station de chemin de fer tout en pissais sur un panneau politique j'ai vu les ramones, peignés par le vent et choqués par la normalité. Les enfants sucent l'amande amère, rare, le néon d'un pub pourri où la bière ne vaut qu'un baiser. La mousse est blanche comme la mer polluée par les critiques croisés perdus entre les stylos brillants. Maman, je suis un fils de punk, de feu et de tarot, alors que la nuit touchait ses seins à la lune. Poga, poga, bouge ton cul et danse, tandis que le non révolutionnaire des genoux reste debout sur un triangle sûr. Le supermarché et le lait périmé, assis, je me lèche les doigts d'une vie sale mangée deux fois. Je m'habille en rose et me teins les cheveux de bleu pendant que j'écrase les feuilles de fer les feuilles tombées des yeux. Je marche en écoutant en silence le bruit de cette ville, je branche la prise dans un trou dans le béton et j'entends des blessures, j'entends le tourment d'une société faite de fer et boulons mis par hasard, pas de garantie et avec de grandes gazes faisceau et je serre les doigts sur encore un mensonge. Sauver des d'hiver, des marionnettes que seule la neige peut nous donner, la caissière qui danse, le barbier avec des lames de rasoir martèle la même chanson malade, la guerre en couleurs a commencé. La guerre des non dormait sur un autre rideau. La broche me fait mes souvenirs et jette des couleurs sur le mur, les écrites et les magazines arrachées qui sont dans un endroit sûr, loin du coeur, loin de tout, près du monde, mis dans cet endroit. Poga, poga, sonne, casse et crie, la métropole qui danse.
Artistes unis par une broche, d'une pointe, d'une tache qui se perd dans les veines d'une variété avarié, vu par de nombreux points de vue, vu et battu comme une fleur déchirée, un tatouage, un piercing, une morsure, qui guérit un monde malade.
Le studio d'enregistrement Soundriver à Rome sera la réunion et l'enregistreur de ces âmes perdues, dispersées, brillantes, dans un sens inconscient de libération vers tout ce qui court à l'heure. La rivière apporte, se cache et traîne comme du sang dans les veines, comme une barque appuyée sur la mer, comme les souliers cassés d'un enfant poussant un patin plein d'émotions.
Nous sommes des chats noirs, dans des pensées inutiles...
Patrick Maria